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On pourrait très bien nommer La Comédie humaine, Les Mille et une Femmes, ce qui nous montre bien le donjuanisme fondamental qui y règne et souligne la séduction de la femme moderne. Balzac admire les femmes d'antan, mais il est émerveillé par la variété féminine qui se développe en son temps ; il n'en finit pas de la détailler, d'autant plus qu'à cette variété horizontale des "espèces', dont le nombre est le carré de celui des espèces masculines, s'ajoute une variété verticale, celle des âges dont l'influence est beaucoup plus forte que chez les hommes.
La multiplication des femmes aboutit à la multiplication des tentations, qui provoque celle des fautes, mais si on sait leur résister c'est une multiplication des vertus.