Le coup d'oeil de M. Piédouche - E-book - Multi-format

Note moyenne 
M. Piédouche se targue d'avoir un fameux coup d'oil, d'être observateur et doué de perspicacité. Alors qu'il se vante de ses qualités auprès de... Lire la suite
1,49 € E-book - Multi-format
Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants :
Téléchargement immédiat
Dès validation de votre commande
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier

Résumé

M. Piédouche se targue d'avoir un fameux coup d'oil, d'être observateur et doué de perspicacité. Alors qu'il se vante de ses qualités auprès de deux jeunes hommes avec lesquels il bavarde en pleine nuit, il décide de démontrer son savoir-faire en affirmant que le charbonnier qui longe le quai de la Seine, sac sur le dos, est un malfrat. Qui en douterait, d'ailleurs, puisqu'on ne peut penser sérieusement qu'un charbonnier assure une livraison à trois heures du matin ? En pourchassant le malfaiteur, le trio le force à abandonner son sac et à disparaitre dans l'eau froide. C'est en ouvrant le sac que M.
Piédouche va faire la découverte effroyable du corps d'une jeune femme... sans tête. À partir de là, M. Piédouche va se lancer, corps et âme, dans une enquête à la fois tumultueuse et pleine de rebondissements. Fortuné du Boisgobey est un écrivain français né en 1821 et mort en 1891. Il est réputé pour être l'un des plus grands feuilletonistes de son temps. Il travailla dans divers journaux de l'époque : « Le Petit Journal », « Le Figaro »...
Auteur très prolifique, il ouvra tant dans le feuilleton judiciaire que dans le roman policier, le roman historique ou le récit de voyage.

Caractéristiques

  • Caractéristiques du format Multi-format
    • Pages
      382
  • Caractéristiques du format Mobipocket
    • Protection num.
      pas de protection
  • Caractéristiques du format ePub
    • Protection num.
      pas de protection
  • Caractéristiques du format Streaming
    • Protection num.
      pas de protection
  • Caractéristiques du format PDF
    • Protection num.
      pas de protection

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

À propos de l'auteur

Biographie de Fortuné Du Boisgobey

Écrivain français. (1821-1891). Issu d'une famille aisée, son père fut maire de Granville de 1830 à 1834 et député de la Manche pendant 18 ans, Fortuné du Boisgobey a fait ses études au Collège d'Avranches puis au lycée Saint-Louis et enfin à l'École de droit. Durant la Monarchie de Juillet dont sa famille était partisane, il sert de 1844 à 1848, dans la section des soldes de l'armée d'Algérie avant de poursuivre ses voyages en Orient. Il ne devint feuilletoniste que sur le tard, après avoir abandonné l'Administration des Finances.
Ayant fait son entrée en littérature en 1843, avec la publication dans le Journal d'Avranches, sous le nom de plume de « Fortuné Abraham-Dubois », une série intitulée Lettres de Sicile, où il racontait un voyage effectué l'année précédente, il renoue avec les lettres, à la suite d'un revers de fortune, en 1868, sous le nom de plume de « Fortuné du Boisgobey », avec une histoire intitulée Deux comédiens dans Le Petit Journal, qui sera éditée en livre sous le titre l'Auberge de la Noble-Rose en 1880.
L'histoire aura du succès auprès du public, et Paul Dalloz, du Petit Moniteur, signera avec l'auteur un contrat à 12 000 francs, un an pour sept ans. Le succès d'Une affaire mystérieuse et du Forçat colonel, tous deux publiés en 1869, fait de cet écrivain prolifique, qui comptera plus de soixante ouvres à son nom, l'un des feuilletonistes les plus populaires. En 1877, le Figaro l'engage pour une série de romans, qui augmenteront le tirage du journal.
Bien que parfois un peu moins convaincants que ceux d'Émile Gaboriau, avec lequel son nom est généralement associé, ses romans policiers ont néanmoins connu une grande diffusion et l'ensemble de ses romans a fait l'objet d'une traduction. Du Boisgobey présida la Société des gens de lettres en 1885 et 1886. Son nom de plume n'était en réalité que l'ancien nom de sa famille (Abraham du Boisgobbé) avant la Révolution, qu'il reprit : Nicolas Abraham avait acquis la vavassorie noble du Boisgobey en 1538, et à l'époque de la Révolution, son grand-père avait raccourci son nom en Abraham-Dubois.
Tombé malade deux mois avant sa mort il se fit transporter rue Oudinot chez les frères de St-Jean de Dieu où il continua son travail avant de s'éteindre le 26 février 1891. Il fut inhumé au cimetière Montparnasse, son acte de décès étant enregistré à la mairie du VIIe arrondissement... (Wikipédia).

Souvent acheté ensemble

Vous aimerez aussi

Derniers produits consultés

1,49 €