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Les écoliers de l'indépendance portent avec eux l'odeur persistante de la braise qui les réchauffait autrefois. Ils se confrontent avec détermination à leur propre maquis pour en tirer avantage. Pour se consoler, ils se disent : "A nos enseignants, nous devons tout dans la vie, absolument tout : jusqu'au souffle qui anime notre existence. Jusqu'aux formules de politesse qui jalonnent nos récits et embellissent nos écrits.
Jusqu'aux mots empruntés à leur langage, dont la simple évocation nous ramène à notre jeune âge".