Henry David Thoreau ne s'est jamais contenté d'admirer la Nature. Depuis sa retraite au milieu des bois, à Walden en 1845, jusqu'à ses longues promenades...
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Henry David Thoreau ne s'est jamais contenté d'admirer la Nature. Depuis sa retraite au milieu des bois, à Walden en 1845, jusqu'à ses longues promenades dans les forêts de la Nouvelle-Angleterre, il n'a eu de cesse de la parcourir. Jour après jour, il a scrupuleusement consigné dans son journal, dont " Balade d'hiver " (1846) et " Couleurs d'automne " (1862) sont tirés, chaque détail observé au cours de ses excursions et la moindre variation du paysage. Sensible aux saisons du déclin, périodes propres à la méditation, ce philosophe de ta nature s'emploie à décrypter les signes d'une harmonie universelle au sein de laquelle l'homme doit trouver sa place.