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Partant d'un constat qu'il appelle " amer ", sur le comportement des musiciens congolais depuis quelques années, surtout en ce qui concerne la chorégraphie, la teneur des chansons porteuses d'immoralité, de mesquinerie, d'impudeur, l'auteur se demande si la musique congolaise peut contribuer à l'éducation, mieux à l'éducation à la citoyenneté. C'est ainsi qu'il fait l'historique de la musique congolaise, de la traditionnelle à la moderne tout en établissant des convergences et divergences entre la musique chrétienne et la musique profane.
L'auteur s'est également préoccupé de la question de savoir si la musique de par son essence est déviante. II trouve que la musique a au contraire une noble mission bafouée ou banalisée par les musiciens congolais. Ainsi a-t-il initié une éthique du musicien. Et il décèle quand même ci et là quelques chansons prônant des valeurs patriotiques. II réalise donc que la musique congolaise mutatis mutandis peut contribuer à l'éducation à la citoyenneté.