Se promenant dans un parc, Leibniz remarqua qu'on ne pouvait y trouver deux feuilles identiques, car " il faut que chaque monade soit différente de chaque...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
En magasin
Résumé
Se promenant dans un parc, Leibniz remarqua qu'on ne pouvait y trouver deux feuilles identiques, car " il faut que chaque monade soit différente de chaque autre ". Que cette singularité tienne à une puissance interne propre à chaque unité de vie, que cette puissance soit celle du désir, et que ce désir soit celui de la différence optimale (et non de la simple conversation), voilà le fruit de la présente interrogation. A partir d'une ontologie de la " relation " ne saurait suffire : le vivant n'est pas simplement un système de corrélations puisqu'il faut placer en son centre ce par quoi la relation devient créatrice, inventive dans le sens du " plus actif " et du " toujours singulier ", cela même qu'aucune autre science de la matière ne pourra jamais arraisonner.
Sommaire
INTERROGATION SUR LA SINGULARITE
Ockham et le fondement ontologique du singulier
De l'essence singulière chez Spinoza à l'unum per se chez Leibniz
Essence analytique et existence du vivant chez Leibniz : Quel sens pour le " per se " de l'unum per se ?
L'INDIVIDU VIVANT OU " MONADE " (REFLEXIONS AUTOUR DE QUELQUES MODERNES)
Individu physique et individu vivant
L'impossible " individu " physique "
Darwinisme et singularité
Morphegénèse du vivant : questions et hypothèses
Les " systèmes vivants " : autopoièse, invariance, entropie