Dr Joanny Rendu du Haut-Buget - Médecin-accoucheur à Lyon, voyageur, colonisateur

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Jean Claude Amand Rendu, dit Joanny Rendu, est né le 1er septembre 1851 à Châtillon-en-Michaille. Il fait ses études de médecine et réussit le concours... Lire la suite
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Résumé

Jean Claude Amand Rendu, dit Joanny Rendu, est né le 1er septembre 1851 à Châtillon-en-Michaille. Il fait ses études de médecine et réussit le concours de l'internat de Lyon en 1874. Il se spécialise en obstétrique et sera toute sa vie gynécologue-accoucheur. Il contribue, par ses recherches, à promouvoir deux avancées majeures en matière de protection sanitaire : D'une part, il a démontré, à partir de la pandémie de variole de Lyon (en 1875) la nécessité d'isoler les malades.
Il publie alors De l'isolement des varioleux à l'étranger et en France : à propos de l'épidémie de Lyon, pendant les années 1875-1877. D'autre part, il a vulgarisé en France la formidable découverte des règles de l'asepsie par le médecin viennois Ignaz Semmelweis : la prévention de la fièvre puerpérale (première cause de mortalité dans des salles d'accouchement de l'époque) commence d'abord par un soigneux lavage de main.
Sa thèse de doctorat s'intitule : De l'utilité des lavages intra-utérins antiseptiques dans l'infection puerpérale.

Caractéristiques

  • Date de parution
    10/10/2022
  • Editeur
  • ISBN
    979-10-90293-95-3
  • EAN
    9791090293953
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    136 pages
  • Poids
    0.21 Kg
  • Dimensions
    16,0 cm × 24,0 cm × 0,8 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de XXX

Il voyage en Europe pour étudier les différentes pratiques en matière d'obstétrique et publie : Note de voyage à l'étranger du point de vue de l'obstétrie et de la gynécologie, 1879-1880. Grand voyageur, il visite la Tunisie et finit par acheter 2 000 hectares de terres incultes dans la région de Sfax pour les mettre en valeur en y plantant des oliviers. Au fil des ans, il plante et développe des oliviers sur près de 5 000 hectares et fait construire une huilerie.
L'entreprise familiale, baptisée Domaines oléicoles sfaxiens, prospère jusqu'à son expropriation par le régime d'Habib Bourguiba peu après la fin du protectorat français.

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