Esquisses parisiennes - Poche

Jean Pavans

(Traducteur)

Note moyenne 
Henry James - Esquisses parisiennes.
" En 1875, à trente-deux ans, Henry James, qui a commencé à s'imposer aux États-Unis, séjourne à Paris. Pour amortir ses frais et parce qu'il a... Lire la suite
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Résumé

" En 1875, à trente-deux ans, Henry James, qui a commencé à s'imposer aux États-Unis, séjourne à Paris. Pour amortir ses frais et parce qu'il a l'ambition d'être un observateur de la vie parisienne, il obtient de devenir le correspondant du New York Tribune dans la capitale. De décembre 1875 à juillet 1876, il va ainsi, en vingt lettres destinées au public américain, faire part de ses impressions.
C'est toute la matière des " Esquisses parisiennes ". Rien ne va manquer au tableau de chasse de ce "voyeur" scrupuleux, malicieux, sensible et caustique. Si elle n'est pas primordiale dans ses curiosités, la politique n'est pas absente : James assiste ainsi à l'accouchement de la République après qu'une victoire de la gauche eut contraint Mac Mahon à suivre une politique à l'opposé de ses choix profonds.
On décrie la "gueuse" dans les milieux aristocratiques et chez les nostalgiques de l'Empereur, " un homme qui savait tendre une ville charmante ", mais, aux yeux de notre observateur, pas de doute la République, toute vacillante qu'elle soit, est là pour durer, car elle est un "état de choses confortable, permanent et raisonnable" " Pierre Kyria, Le Monde.

Caractéristiques

  • Date de parution
    16/11/2006
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-7291-1649-4
  • EAN
    9782729116491
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    251 pages
  • Poids
    0.21 Kg
  • Dimensions
    12,0 cm × 17,0 cm × 2,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Henry James

Né en 1843 à New York, installé en 1876 à Londres, où il meurt en 1916, Henry James est le grand témoin cosmopolite de la domination croissante des doctrines de son pays natal sur les valeurs ancestrales de l'Europe. Traitant des mutations de son époque à travers des personnages subtils, dans une œuvre protéiforme, il reconnaît d'abord à l'Amérique une supériorité morale malgré son infériorité culturelle, mais démasque bientôt les rapacités destructrices embusquées derrière les principes moralisateurs.
Un an avant sa mort, il prend la nationalité anglaise par solidarité pour son pays d'adoption dans le conflit mondial.

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