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De retour dans la maison où il a passé son enfance, le narrateur se retrouve submergé par le souvenir des événements étranges et tragiques qui ont marqué l'année de ses sept ans. Un suicide dans une voiture volée ; Lettie Hempstock, cette petite voisine qui lui affirmait que l'étang au bout du chemin était un océan ; les monstres qui rôdaient dans les ténèbres... Pourquoi les a-t-il enfouis dans sa mémoire ? Qu'est-il réellement arrivé cette année-là ?
Ce petit océan
L’Océan au bout du chemin pourrait représenter votre jardin. Il y a dans ces lignes une représentation presque nostalgique des souvenirs d’enfance. Un étang en océan, des amis qui ne sont que souvenirs, voir imagination. Il s’agit là d’un texte frais. C’est une lecture qu’on peut avoir l’été, lorsque le monde entier brûle et qu’on veut rester enfermer. C’est une lecture qui se dévore, qui reste dans les esprits, qui donne une envie d’encore. La traduction est agréable, poétique. Il s’agit de l’Océan dans lequel l’esprit peut longtemps baigner.