L'or du temps Tome 2 - Album

Seconde partie

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Résumé

La suite et la fin du diptyque de Rodolphe et Oriol. Sous le trait impressionniste du dessinateur espagnol, Théo continue son enquête dans les bas-fonds de Paris, en forme d'hommage aux meilleurs feuilletons de la littérature et de la bande dessinée... à la recherche de l'"Or du temps". Sur la trace du sarcophage égyptien volé au Louvre, Théo et Victoria sont enlevés par une bande d'inquiétants personnages masqués, rangés derrière celui qui semble être leur chef et se présente sous le nom de Milord l'Arsouille.
Assommé, gardé prisonnier quelque part dans le château de Nerac, Théo parvient à s'échapper et à rejoindre son ami égyptologue Hugo de Reuhman pour reprendre bientôt le fil de son enquête. La lecture de certains documents font état d'un "grand secret" que contiendrait ce sarcophage, ce qui expliquerait les convoitises et les dangers qu'il recèle. Le secret de la vie et de la mort ? Celui de la fabrication de l'or ? ou bien encore le secret ultime : la pierre philosophale ? ...
Les recherches de Théo le mènent à un certain Vicomte de Cambrai, un vieil aristocrate passionné par les sciences occultes, l'alchimie et les techniques de la robotique. Au cours d'un étrange repas dont le service est assuré par des automates, Théo fait la connaissance de Léone, qui semble lui demander de l'aide. Le vicomte, c'est évident, en sais plus qu'il ne le dit au sujet des recherches de Théo.
De cabarets louches en messes noires, de cimetières en fêtes orgiaques, Théo croise Nini Peau d'Chien, l'Eve future, Aleister Crowley, et la créature monstrueuse qui a failli avoir sa peau dans les couloirs du Louvre. Tous s'intéressent de près ou de loin au sarcophage disparu, mais qui sera assez fou pour le retrouver et percer son secret ? Le Paris de la Belle Epoque est magistralement mis en scène et en couleurs par Oriol.
Les pages du dessinateur espagnol ont le charme et la force des lithographies de l'école de Montmartre et des tableaux de Toulouse-Lautrec. Rodolphe, quant à lui, réinvente le genre du feuilleton et rend le plus bel hommage aux maîtres du genre.

Caractéristiques

  • Date de parution
    09/02/2023
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-35674-142-4
  • EAN
    9782356741424
  • Format
    Album
  • Présentation
    Relié
  • Nb. de pages
    72 pages
  • Poids
    0.78 Kg
  • Dimensions
    24,2 cm × 33,0 cm × 1,3 cm

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À propos des auteurs

Né il y a déjà bien longtemps, le jeune Rodolphe manifeste très tôt une détestation farouche à l'encontre des sports collectifs, tout particulièrement ceux organisés autour de la poursuite et du tapotage de baballes. Juste contrepoint à cette haine, il développe un amour immodéré pour ce qui est livres et papier, romans et bandes dessinées, lecture et rêverie. Abonné aux merveilleux magazines qu'étaient alors Tintin et Spirou, il dévore également les " Bibliothèques Vertes ", accusant un faible pour les titres signés Walter Scott, Alexandre Dumas, Paul Féval, R.
L. Stevenson, Charles Dickens, Jack London et l'excellent James Oliver Curwood... Amour du livre qui l'amènera quelques années plus tard à officier en tant que libraire (sous les prestigieuses enseignes de SATAN and CO et de TEMPS FUTURS) puis à exercer les activité de journaliste et critique pour la presse BD : A Suivre, Métal Hurlant, Charlie, Pilote. Il croise sur cette période quelques figures bienveillantes qui le confortent dans sa capacité à inventer des histoires, l'orientent vers le domaine spécifique de la bande dessinée, et enfin le présentent à des responsables éditoriaux susceptibles d'accueillir ses travaux : Jean-Paul Mougin, Guy Vidal, Claude Moliterni.
Les noms de ces figures bienveillantes, de ces " anges tutélaires " ? Jacques Lob, Alexis, Philippe Druillet, Annie Goetzinger. Mille grâces leur soient encore rendues ! Publications donc dans A Suivre, Métal Hurlant, Pilote, Circus, mais encore dans différents magazines du groupe Bayard (J'aime Lire, Je Bouquine) et également dans Le Journal de Mickey où il va, des années durant, animer le personnage de Mickey.
Entretemps, la librairie a été abandonnée, le travail journalistique le sera bientôt. Quelques nouvelles rencontres d'importance ponctuent cette période : Le Tendre, Loisel, Michel Rouge, André Juillard, Jacques Ferrandez, Al Coutelis. Puis, quelques années plus tard, Léo, Florence Magnin, Marcelé, Griffo... Parallèlement à la bande dessinée, Rodolphe s'est tourné vers l'écriture romanesque. Une petite dizaine de romans - ; dont certains pour adolescents - ; voient le jour.
Et encore une biographie de Robert Louis Stevenson ainsi que différents ouvrages sur la musique et le quotidien des années 50 et 60. Il a, à ce jour, publié plus de deux cents albums, dessinés par les plus grands noms de notre " neuvième art ", dont les grands maîtres que furent Raymond Poïvet et René Follet... Oriol est un auteur espagnol né à Barcelone en 1983. Formé à l'Ecole Joso de Barcelone, il commence sa carrière professionnelle en 2003 dans l'animation.
Il a collaboré avec la société de production Filmax où il a travaillé à la production de Donkey Xote et a également développé des concepts et des décors pour le film Nocturna. Cette expérience dans l'animation l'amène à retourner à l'école Joso pour y enseigner cette matière. En 2010, il est repéré par Zidrou, scénariste belge résidant en Espagne, qui l'associe à un projet d'histoires courtes à paraître aux éditions Dupuis.
La première bande dessinée d'Oriol est donc éditée dans le collectif Joyeuses nouvelles pour petits adultes et grands enfants. En 2012, toujours sur un scénario de Zidrou, il publie La Peau de l'ours (éditions Dargaud) qui nous fait voyager entre l'Italie moderne et les Etats-Unis des années 30, et s'appuie pour cet album sur une solide documentation. Le duo revient en 2015 avec un conte cruel, Les 3 Fruits, puis Natures Mortes (2017), biographie imaginaire d'un peintre barcelonais dont Oriol invente et dessine l'ensemble des oeuvres...
Chaque nouvelle collaboration est le moyen d'explorer de nouvelles pistes graphiques et d'élargir sa palette de couleurs. Pour chaque planche, Oriol réalise un story-board colorisé qu'il rehausse au crayon, puis il finalise son travail en numérique. L'album Natures mortes est l'occasion pour Oriol de faire un séjour à Paris, au cours duquel il s'imprègne des décors et des couleurs de Montmartre, sur les traces de Vidal Balaguer, le personnage central de l'album.
Le dessinateur baigne donc dans les ambiances du Paris de la Belle Epoque quand il reçoit un scénario de Rodolphe intitulé L'Or du temps : " Un beau matin, cette histoire est arrivée sur ma messagerie et je n'ai pas pu la refuser ! C'est incroyable à quel point j'ai eu le sentiment que ce projet avait été fait pour moi. Si je pouvais choisir de vivre un moment précis dans un lieu concret, ce voyage serait celui que vit Théo, notre héros.
Vous souvenez-vous de Minuit à Paris, le film de Woody Allen ? Dans le film, le personnage principal, Owen Wilson, se voit demander quel serait, pour lui, le lieu et l'époque parfaits pour y vivre. Eh bien ma réponse serait, comme lui, le Paris de 1890 ". Pour L'Or du temps, Oriol a, comme à son habitude, commencé par travailler sur les couleurs et les émotions qu'elles transmettent, alternant les scènes lumineuses d'un Paris reconstitué et les ambiances plus sombres des cabarets de Montmartre, des salons spirites et des souterrains du Louvre...

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