L'apparition des sciences morales, et d'abord de l'histoire, puis leur affranchissement par rapport à la philosophie entraînent une relativisation générale...
Lire la suite
L'apparition des sciences morales, et d'abord de l'histoire, puis leur affranchissement par rapport à la philosophie entraînent une relativisation générale des acquis de la connaissance. Comment résister à l'historicisme ? Comment réconcilier l'exigence de la vérité et de la diversité empirique où règne le singulier ? L'histoire brise-t-elle définitivement le lien entre l'individuel et l'universel ? L'auteur arbitre cette controverse entre le positivisme qui refuse tout statut scientifique aux sciences humaines, et l'historicisme latent des philosophies qui s'efforcent d'intégrer l'histoire.
Sommaire
La pratique de la recherche en sciences morales
Les inductions en sciences morales et les significations universelles des termes