La femme qui boit - Poche

Nathalie Kuperman

(Préfacier)

,

Léonie Pernet

(Préfacier)

Note moyenne 
"J'ai tort, je sais que j'ai tort, et je ne peux pas m'empêcher d'avoir tort.
9,00 €
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 7 mai et le 10 mai
En magasin

Résumé

"J'ai tort, je sais que j'ai tort, et je ne peux pas m'empêcher d'avoir tort.

Caractéristiques

  • Date de parution
    13/04/2023
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-07-301874-8
  • EAN
    9782073018748
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    168 pages
  • Poids
    0.17 Kg
  • Dimensions
    12,5 cm × 19,0 cm × 0,9 cm

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

L'éditeur en parle

"Les gens heureux ne boivent pas, décréta-t-elle. Qu'un peu de pitié, par grâce, accueille ceux qui cherchent dans la boisson un bonheur illusoire, ou plutôt le mépris du bonheur inaccessible. Ce vice, il est inutile de vouloir le combattre. Il serait vaincu s'il était possible de créer la joie en ce monde". Voici le portrait de Guita, une buveuse distinguée. Héroïne pleine d'esprit, elle trouve la source de son seul bonheur véritable dans l'alcool.
A côté, tout ne lui paraît que souffrance et ennui. Malmenée par la vie, le quotidien, la société et les hommes, la jeune Guita morcelle le temps, entre ébriété, dégrisement et manque : une ritournelle pour supporter sa peine. Pour raconter ces sensations procurées par l'ivresse, Colette Andris découpe son roman en "points d'alcoolisme" . Intitulés Eveil, Initiation, Insomnie, Flirt, Spasmes ou Ethers, ces courts chapitres décrivent avec une ironie sévère et sans pudeur l'addiction de son personnage.
On redécouvre une plume colorée et scandaleuse injustement tombée dans l'oubli. Publié en 1929, ce roman lève le voile sur un sujet encore terriblement tabou : l'alcoolisme chez la femme.

Souvent acheté ensemble

Vous aimerez aussi

Derniers produits consultés

9,00 €