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"Dans leur état présent, les lois de bioéthique et d'autres du même genre relatives ^ la procréation et ^ la fin de vie, n'ont rien de particulièrement permissif. Elles interdisent les mères porteuses, la sélection des embryons selon des critères de convenance, les recherches sur les cellules souches. Elles n'autorisent pas les gays, les lesbiennes et les femmes jugées trop "âgées" à bénéficier de l'assistance médicale à la procréation.
Elles criminalisent toutes les formes d'aide active à mourir, même en cas de demande manifestement libre et éclairée d'un patient incurable en fin de vie, auprès d'un médecin dont les convictions éthiques ou religieuses n'y sont pas défavorables. Elles excluent l'avortement tardif sans motif approuvé par un collège de praticiens spécialisés. Je voudrais donner des raisons d'aller dans une direction opposée, moins paternaliste, plus respectueuse des libertés individuelles".
R. O.
la vie la mort l\'état
"La vie la mort l'Etat"... où comment l'Etat régit nos vies de la procréation jusqu'au décès?
Ruwen Ogien, chercheur au CNRS, revient sur le débat de la législation bioéthique et tente de décriminaliser l'opinion publique.
Un essai intéressant sur fond de réflexion philosophique.