1er chapitre on découvre la petite Lilly, 9 ans en 1931, qui vit enfermée depuis toujours dans le grenier de Blackwood Manor. Ses parents la maintiennent à l'écart, lui répétant sans cesse que personne ne peut la voir car elle est un monstre.
2ème chapitre, on découvre la jeune Julia Blackwood, 18 ans en 1956. Elle galère en travaillant dans un pub miteux quand elle reçoit une lettre d'un avocat concernant un héritage, le manoir qu'elle a fui 3 ans plus tôt.
Les chapitres vont ensuite s'alterner entre les 2 filles qui ne se connaissent pourtant pas.
Lilly et sa mère bigote, qui
vendra sa propre fille à un cirque de passage. Une Lilly qui aura beaucoup de mal à se faire à cette nouvelle vie, exposée chaque jour dans le musée des horreurs du cirque. Mais il y aura aussi Cole et ses éléphants ...
Julia qui a fui une mère obsédée par la religion et qui la rend responsable de la mort de son père. Qui retrouve ce manoir et ses souvenirs, pas forcément heureux, qui retrouve l'élevage de chevaux de son père et qui décide de reprendre le flambeau.
Quel est le lien entre ces 2 filles qui portent le même nom et ont vécu chacune un temps à Blackwood Manor ?
Chaque chapitre nous fait avancer dans l'étrange destin qu'est celui de Lilly, et dans les découvertes de Julia.
Une trame habilement tissée, une maîtrise du suspens et du dénouement.
De belles descriptions pour nous plonger sans le monde du cirque de l'entre-deux guerre, de l'utilisation et de la souffrance des gens différents, de la cupidité, mais aussi de l'entre aide.
Une plume fine et puissante pour aborder divers sujets tels que les secrets de famille, la différence, l'impact d'une religion menée à son extrême, l'innocence de l'enfance, le combat quotidien pour survivre dans un monde qui ne fait aucun cadeau.
Un superbe roman qui m'a touché plus que je ne l'aurais cru.
Une histoire, un destin, forts, marquant et prenants qui ne peuvent pas laisser indifférents.
Note à l'auteure et/ou la traductrice : un cheval n'a pas de pattes mais tel le noble animal qu'il est, il a des jambes.
Un roman fort, marquant et touchant
1er chapitre on découvre la petite Lilly, 9 ans en 1931, qui vit enfermée depuis toujours dans le grenier de Blackwood Manor. Ses parents la maintiennent à l'écart, lui répétant sans cesse que personne ne peut la voir car elle est un monstre.
2ème chapitre, on découvre la jeune Julia Blackwood, 18 ans en 1956. Elle galère en travaillant dans un pub miteux quand elle reçoit une lettre d'un avocat concernant un héritage, le manoir qu'elle a fui 3 ans plus tôt.
Les chapitres vont ensuite s'alterner entre les 2 filles qui ne se connaissent pourtant pas.
Lilly et sa mère bigote, qui vendra sa propre fille à un cirque de passage. Une Lilly qui aura beaucoup de mal à se faire à cette nouvelle vie, exposée chaque jour dans le musée des horreurs du cirque. Mais il y aura aussi Cole et ses éléphants ...
Julia qui a fui une mère obsédée par la religion et qui la rend responsable de la mort de son père. Qui retrouve ce manoir et ses souvenirs, pas forcément heureux, qui retrouve l'élevage de chevaux de son père et qui décide de reprendre le flambeau.
Quel est le lien entre ces 2 filles qui portent le même nom et ont vécu chacune un temps à Blackwood Manor ?
Chaque chapitre nous fait avancer dans l'étrange destin qu'est celui de Lilly, et dans les découvertes de Julia.
Une trame habilement tissée, une maîtrise du suspens et du dénouement.
De belles descriptions pour nous plonger sans le monde du cirque de l'entre-deux guerre, de l'utilisation et de la souffrance des gens différents, de la cupidité, mais aussi de l'entre aide.
Une plume fine et puissante pour aborder divers sujets tels que les secrets de famille, la différence, l'impact d'une religion menée à son extrême, l'innocence de l'enfance, le combat quotidien pour survivre dans un monde qui ne fait aucun cadeau.
Un superbe roman qui m'a touché plus que je ne l'aurais cru.
Une histoire, un destin, forts, marquant et prenants qui ne peuvent pas laisser indifférents.
Note à l'auteure et/ou la traductrice : un cheval n'a pas de pattes mais tel le noble animal qu'il est, il a des jambes.