Le Bon Sens ou l'Esprit français - Poche

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A travers trois conférences données en 1895 à la Sorbonne, en 1923 à l'Académie et en 1934 à la radio, Henri Bergson (1859-1941) propose dans une... Lire la suite
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Résumé

A travers trois conférences données en 1895 à la Sorbonne, en 1923 à l'Académie et en 1934 à la radio, Henri Bergson (1859-1941) propose dans une langue claire et dégagée de tout jargon philosophique une réflexion sur l'enseignement. Cette thématique irrigue toute son ouvre et il donne une traduction de la formation de l'esprit à laquelle aboutir : le « bon sens », faculté de distinction, serait une boussole, la capacité à s'orienter aussi bien dans la pensée que dans l'action.
L'école doit viser à intensifier au maximum cette puissance. Paradoxalement, c'est la fréquentation des Anciens qui permet de réaliser cette ambition. On redécouvre que les termes dans lesquels se posait le débat autour de l'enseignement et de ses objectifs ressemblent au débat actuel : pourquoi les études classiques quand le pays a besoin de jeunes gens compétents dans le commerce ou l'ingénierie ? Bergson avait donné sa réponse.

Sommaire

  • LE BON SENS OU L'ESPRIT FRANCAIS
    • "Le bon sens et les études classiques"
    • "Les études gréco-latines et la réforme de l'enseignement secondaire"
    • "Quelques mots sur la philosophie française et sur l'esprit français"
  • "LA FRANCE, CETTE TERRE CLASSIQUE DU BON SENS"
  • VIE D'HENRI BERGSON

Caractéristiques

  • Date de parution
    17/10/2012
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-7555-0695-2
  • EAN
    9782755506952
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    78 pages
  • Poids
    0.058 Kg
  • Dimensions
    10,5 cm × 15,0 cm × 0,7 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Henri Bergson

Fils d'un immigré juif polonais, Henri Bergson fut normalien, agrégé de philosophie en 1881, et mena une brillante carrière d'enseignant (lycées Louis-le-Grand et Henri-IV à Paris ; maître de conférence à l'ENS en 1897). En 1900, il obtint la chaire pour l'ensemble de son oeuvre, qui comporte notamment L'Évolution créatrice (1907), et Les Deux Sources de la morale et de la religion (1932), s'inscrivait contre le formalisme kantien et les différentes formes de positivisme et de scientisme.
Il s'appuyait sur les connaissances modernes en psychologie pour définir des voies philosophiques nouvelles.

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