En cours de chargement...
La douleur : tel est le motif commun de cette "trilogie involontaire", selon l'expression de son auteur. Celle du père, lorsque tout ce qui l'entoure se déforme peu à peu, lieux, visages, objets Celle de la mère, que le sentiment de solitude terrasse, après le départ de son enfant. Celle du fils enfin, atteint d'un mal-être que rien ne semble pouvoir guérir. Mais, tandis que les certitudes se muent en sables mouvants, l'humour et la dérision ne cessent d'émailler les répliques, ancrant les personnages de ces "farces noires" dans une réalité illusoire, juste avant le point de bascule.
Le sentiment tragique d'un trouble dans le réel rend ces pièces universelles, et fait de Florian Zeller l'auteur francophone vivant le plus joué dans le monde.
Un style narratif pariculier
Une lecture dans laquelle j'ai eu beaucoup de mal à m'immerger avec ces situations qui vont et viennent, ces personnages qui apparaissent et disparaissent.
Un style particulier et qui sort des sentiers battus, mais qui ne l'a pas fait avec moi
Dommage car les thèmes abordés sont très bons.