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En lisant Le Vieux Baobab et le vieux chêne, au titre à la fois solide et séculaire, on rencontre bien sûr des élans de poésie qui font plaisir. Tout élan veut dire envol. On imagine des ailes, on les voit même qui se dessinent en hauteur, un peu loin de la terre, pour observer le tumulte des hommes, leurs contradictions, leur désordre, leur mésentente, et heureusement quelques terreaux d'amitié et d'espoir...
Tu es la tourterelle de la matinée Et le hibou de la nuit tombée… Tu es le grand-père du rap. On tombe sur un homme sensible qui de toute évidence a fait l'expérience des bonheurs, également des affres que procurent les rapports humains. C'est à la fois utile et admirable. On ne peut réaliser rien de grand si, en passant sous les Fourches Caudines, on n'est pas touché par la grâce de l'amour. Daouda Keïta serait-il une exception à mon théorème de la mutualisation ?