Les enfants du bout du monde

L'adoption d'un enfant vietnamien de quatre mois, Florian, a complètement modifié la vie de Marina Picasso. Bouleversée par la détresse de ces orphelins du bout du monde, elle a créé une fondation destinée à leur venir en aide. Mutipliant les actions, la fondation s'est montrée en cinq ans d'une efficacité remarquable, fournissant en lait en poudre et en équipements d'urgence orphelinats et hôpitaux pédiatriques, finançant leur restauration, assurant leurs ressources alimentaires ainsi que des missions médicales dans les campagnes. Sa plus importante réalisation reste la création de deux Villages de la jeunesse qui offrent aujourd'hui à six cents enfants des conditions de vie matérielle et affective exceptionnelles.