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" Pour le voyageur arrivant par la mer, la ville s'élève, même de loin, comme une belle vision de rêve, se découpant nettement contre un ciel bleu vif que le soleil réchauffe de ses ors. Et les dômes, les monuments, les vieux châteaux surplombent la masse des maisons, tels les lointains hérauts de ce délicieux séjour, de cette région bénie des dieux. " Fernando Pessoa " Lisbonne, ville de l'intranquillité, après la Prague de Kafka et le Dublin de Joyce, fait son entrée dans la littérature, et son "passant intégral", Fernando Pessoa, en est l'introuvable et mélancolique fantôme.
" Antoine de Gaudemar, Libération