Il nous faut écrire comme si c'était notre dernier jour, notre dernière chance. En marge s'il le faut. Et c'est là où le brave journal est bénéfique......
Lire la suite
Il nous faut écrire comme si c'était notre dernier jour, notre dernière chance. En marge s'il le faut. Et c'est là où le brave journal est bénéfique... Nous sommes payés pour faire les fous, pour écrire ce qui nous passe par la tête. Et après, l'oubli, le divin oubli. Oui, si bon que soit notre papier, il sera oublié le jour ou la semaine où il a été publié. C'est la loi de la presse. Et, plus tard, en livre, avec un peu de chance, cet article retrouvera sa fraîcheur. Comme s'il était un inédit. B.F.