Etourderie postprandiale, nécessité d'une cheville poétique, moment de distraction passagère, paresse de correction ou fatigue de relecture, aveuglement...
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Etourderie postprandiale, nécessité d'une cheville poétique, moment de distraction passagère, paresse de correction ou fatigue de relecture, aveuglement dû à l'esprit de parti, volonté inconsciente de ridiculiser, jubilation d'écriture, désinvolture de l'auteur payé à la ligne, mémoire défaillante du feuilletoniste... On pourrait facilement allonger la liste des raisons qui ont conduit les écrivains - et certains fort illustres - à commettre de telles bévues.