J'ai toujours aimé les passeurs, les interviews d'artistes qui parlent de leurs influences, les blind tests faits à des musiciens, les auteurs qui montrent leurs bibliothèques, les jeux de pistes qui font qu'un jour vous écoutez Tom Waits et que quelques mois plus tard, d'aiguille en fil, de Marc Ribot en Arto Lindsay vous découvrez John Zorn et que vos goûts ont pris 359 degrés supplémentaires.
Ces passeurs, je les ai cherchés partout, de la presse à la télé. Sollers, un temps, Polac, souvent, Ardisson par flashes, Thierry Jousse, Philippe Robert, tant d'autres... et Sorin, avec
certitude.
Au jeu des affinités électives, l'éditeur (Champ Libre, Sagittaire, etc) et le critique m'ont tapé dans l'œil comme personne ! Goûts avisés et éclectiques, de dada à l'anarchie, du roman populaire à la beat generation, le type a tout compris à ce qui compte, à ce qui cogne, à ce qui éveille.
Dans ces produits d'entretiens compilés par Finitude (toujours sur les bons coups) en 2005, il est question de Jean Forton, d'Humphrey Bogart, de Scutenaire, de Calet ou de Norge. Bref, si ces noms ne vous parlent pas et que vous soyez pourvu d'un esprit un tant soit peu curieux, vous aurez envie de creuser en lisant les courts et beaux textes de Sorin.
Si vous les connaissez déjà , je vous embrasse et vous souhaite quand même une bonne lecture car entre les lignes vous aurez encore mille découvertes à vous mettre sous la dent, et le style de ces textes procure un bonheur de lecture sans équivalent.
Et oubliez un peu les grosses baudruches des émissions littéraires avant de passer en librairie, ça me fera plaisir. La petite librairie, c'est bien aussi.
le passeur magnifique
J'ai toujours aimé les passeurs, les interviews d'artistes qui parlent de leurs influences, les blind tests faits à des musiciens, les auteurs qui montrent leurs bibliothèques, les jeux de pistes qui font qu'un jour vous écoutez Tom Waits et que quelques mois plus tard, d'aiguille en fil, de Marc Ribot en Arto Lindsay vous découvrez John Zorn et que vos goûts ont pris 359 degrés supplémentaires.
Ces passeurs, je les ai cherchés partout, de la presse à la télé. Sollers, un temps, Polac, souvent, Ardisson par flashes, Thierry Jousse, Philippe Robert, tant d'autres... et Sorin, avec certitude.
Au jeu des affinités électives, l'éditeur (Champ Libre, Sagittaire, etc) et le critique m'ont tapé dans l'œil comme personne ! Goûts avisés et éclectiques, de dada à l'anarchie, du roman populaire à la beat generation, le type a tout compris à ce qui compte, à ce qui cogne, à ce qui éveille.
Dans ces produits d'entretiens compilés par Finitude (toujours sur les bons coups) en 2005, il est question de Jean Forton, d'Humphrey Bogart, de Scutenaire, de Calet ou de Norge. Bref, si ces noms ne vous parlent pas et que vous soyez pourvu d'un esprit un tant soit peu curieux, vous aurez envie de creuser en lisant les courts et beaux textes de Sorin.
Si vous les connaissez déjà , je vous embrasse et vous souhaite quand même une bonne lecture car entre les lignes vous aurez encore mille découvertes à vous mettre sous la dent, et le style de ces textes procure un bonheur de lecture sans équivalent.
Et oubliez un peu les grosses baudruches des émissions littéraires avant de passer en librairie, ça me fera plaisir. La petite librairie, c'est bien aussi.