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Désirer, voir et connaitre ont en chacun de nous partie liée. De l'exercice du regard, chacun escompte les satisfactions de diverses natures qui semblent répondre à de profondes requêtes de l'inconscient ; requêtes éventuellement sublimées dans la recherche, l'étude, le voyage, mais aussi dévoyées selon d'innombrables perversions. Quel avenir de connaissance s'offre à une société qui n'intégrerait pas l'expérience de l'oblitération du regard ? Quel avenir se réserve une société promouvant sans limite de regard, fruit du désir et agent de la connaissance, qui sacralise le virtuel ?