Rue Monsieur-le-Prince - Grand Format

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Hiver 1986. Dans toutes les villes de France, les étudiants se révoltent contre le projet Devaquet sur la réforme des universités. Dans le Sud, puis... Lire la suite
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Résumé

Hiver 1986. Dans toutes les villes de France, les étudiants se révoltent contre le projet Devaquet sur la réforme des universités. Dans le Sud, puis à Paris, Hervé prend part aux manifestations, persuadé d'être au coeur de l'Histoire en marche. Mais dans la nuit du 5 au 6 décembre, derrière la porte du 20, rue Monsieur-le-Prince, Malik Oussekine meurt sous les coups de la police après une course-poursuite.
Le mouvement étudiant se termine dans la sidération. Trente ans plus tard, Hervé revient sur ce moment dont les échos l'obsèdent. Il restitue l'émotion d'un élan collectif, réinvente l'indicible, cherche à percevoir l'invisible derrière le fait divers. Le récit, porté par une écriture minutieuse et fluide, circule entre 1986 et aujourd'hui, entre faits et fiction, certitudes et doutes. Un roman inquiet, fiévreux, d'une grande humanité.

Caractéristiques

  • Date de parution
    09/03/2017
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-86746-907-7
  • EAN
    9782867469077
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    198 pages
  • Poids
    0.252 Kg
  • Dimensions
    14,5 cm × 21,0 cm × 1,5 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Didier Castino

Didier Castino, né en 1966, est professeur de lettres à Marseille. En 2015, il signe le très remarqué Après le silence, récompensé notamment par le Prix du premier roman et le Prix Eugène Dabit. À propos de Rue-Monsieur-le-Prince, il dit : « Je voulais écrire sur ce mouvement de 86 qui, pour moi et pour nombre de personnes de ma génération, représente la première prise de conscience politique. Je voulais revenir sur la mort de Malik Oussekine, les heures qui l'ont précédée.
Parler du regard que l'on porte sur celui que l'on nomme étranger, parler des autres hommes – Algériens, Juifs, Noirs – qui ont dû courir aussi pour échapper à leur sort. Je veux parler de la jeunesse en ayant perdu la mienne, de nos engagements et de nos renoncements, des contradictions qui nous définissent. »

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