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Notes et avis 1 à 10 sur un total de 19
Roman fidèle à ce que fait Laurent Gounelle. On suit l’histoire de Jonathan qui nous permet d’avancer dans la nôtre.
J’ai trouvé le tome 2 plus haletant que le premier. Carlos Ruiz Zaffon nous prend dans le tourbillon des tourments de David Martin sans pour autant renoncer à nous parler de l’humain.
Vers la beauté est un roman bouleversant où l’on suit deux histoires liées. Foenkinos interroge dans ces pages la force du sentiment sur la raison pour l’un, et la puissance irrépressible de la douleur quand le corps est meurtri pour l’autre. Le rapport à l’art et aux formes de la beauté dans ces contextes est exploré de manière intéressante.
Un roman qui retrace la vie de Modesta, femme en lutte permanent pour sa liberté, non celle de son corps, celle de son esprit et de ses aspirations. Si ce classique de la littérature italienne ne manque pas de profondeur, il manque de relief. Souvent, j’ai eu l’impression que les événements n’étaient pas assez préparés. Les deux derniers tiers du livre manquent d’action à mon goût.
Par contre, Modesta est bouleversante.
L’introduction du livre pose comme objet principal de répondre à plusieurs questions sur la mondialisation : Les pays pauvres (ou les pauvres des pays africains ou méditerranéens) sont-ils les victimes de la mondialisation ? Quels sont leurs rôles, leurs influences ? Quels sont les potentiels de développement ?
S’ils développent les chemins par lesquels l’internationalisation de la production peuvent accompagner les territoires secondaires dans leur développement, et ceci rend l’ouvrage en soit intéressant, la multiplication des exemples et illustrations micro ou méso n’ont
pas ici, selon moi, une portée suffisante pour apporter un éclairage permettant de répondre aux questionnements susmentionnés.
L’histoire de cette drôle de famille dans cet étrange commerce interroge par ce combat entre la joie et la tristesse ou entre le pessimisme et l’optimisme.
J’ai acheté ce livre pour les premières pages que j’avais trouvées très amusantes en librairie, mais finalement je suis davantage conquis par sa subtile tendresse, et moins par l’humour redondant.
Une plongée passionnante dans le Paris révolutionnaire à travers une enquête policière menée par une jeune journaliste, Gabriel Joly. Ce roman historique nous offre un angle sur les événements de mai à juillet 1789. Rapidement on se met à dévorer les pages pour découvrir les fils de l’intrigue et cette glorieuse et terrible révolution.
Les critiques se trouvant sur le bandeau du livre évoque le « nouveau Dumas », mais une différence existe, contrairement à Dantes le personnage principal manque d’épaisseur. Si les traits saillants de sa personnalité sont connus, l’auteur
s’attarde trop peu sur la profondeur de ses pensées.
Un ouvrage de vulgarisation sur la TMM qui atteint son objectif : expliquer simplement les mécanismes économiques et les fondements de cette théorie. La logique sous-jacente est parfaitement explicitée.
L’ouvrage est engagement politiquement et se fixe le but de convaincre. Difficile d’évaluer s’il y parvient car les comparaisons des concepts économiques à des élément du quotidiens sont parfois douteuses (ex :gestion des cycles économiques=amortisseurs et conduite d’une voiture).
Finalement, si le ton de l’auteur laisse entendre qu’il y a dans ses pages de grands apports,
nous ne trouvons finalement rien de neuf sous le soleil. En effet, elle s’arroge des idées de l’économie hétérodoxe : il n’y a pas de limite à la création monétaire pour les pays souverains, si ce n’est l’inflation (ou la disponibilité des ressources productives) et les conventions monétaires/budgétaires; les raisonnements en stock-flux cohérents des post-keynésiens ; la garantie de l’emploi.
Ma déception viendra du fait qu’elle ne va pas assez loin sur les implications de la TMM dans le débat économique : Equivalence ricardienne ; retournement des anticipations ; effet d’éviction indirect etc.
Un ouvrage intéressant pour un premier apport autour des théories monétaires hétérodoxes. Pour ceux qui en maîtrise les éléments de base, l’intérêt sera marginal.
Manuel sur les bases du mind mapping, il en présente la logique, les principes d’élaboration de façon tout à fait satisfaisante. L’ouvrage devient rapidement redondant. On tourne autour des mêmes éléments, et les apports deviennent de plus en plus marginaux au fil des pages.
Cet ouvrage s’adresse aux débutants.
Notes et avis 1 à 10 sur un total de 19
Pas le meilleur de Gounelle
Après avoir lu « Les dieux voyagent toujours incognito », roman que j’ai adoré, je suis déçu par celui-ci qui se résume, à mon sens, à un dialogue. Il manque une histoire finalement.
Si vous souhaitez lire Gounelle il ne faut pas y renoncer, c'est génial, mais celui-ci n'est pour moi pas son meilleur roman.