Biographie de Patrick Senécal
Patrick Senécal est né à Drummondville en 1967. Bachelier en études françaises de l'Université de Montréal, il enseigne depuis quelques années la littérature, le cinéma et le théâtre au cégep de Drummondville. Passionné par toutes les formes artistiques artistiques mettant en ouvre le suspense, le fantastique et la terreur, il publie en 1994 un premier roman d'horreur, « 5150, rue des Ormes », où tension et émotions fortes sont à l'honneur.
Son troisième roman, « Sur le seuil », un suspense fantastique publié en 1998, a été acclamé de façon unanime par la critique. Après « Aliss » (2000), une relecture extrêmement originale et grinçante du chef-d'ouvre de Lewis Carroll, « Les Sept Jours du talion » (2002), « Oniria » (2004), « Le Vide » (2007) et « Hell.com » (2009) ont conquis le grand public dès leur sortie des presses. « Sur le seuil » et « 5150, rue des Ormes » ont été portés au grand écran par Éric Tessier (2003 et 2009), et c'est Podz qui a réalisé « Les Sept Jours du talion » (2010).
Trois autres romans sont présentement en cours d'adaptation tant au Québec qu'à l'étranger.
Jeik Dion est illustrateur et concepteur de storyboard.
Il a travaillé sur plusieurs franchises québécoises connues, dont Turbo Kid et Amos D'Aragon. Il est également podcasteur au sein des Mystérieux Étonnants. En 2018, il participe à la BD Jardin Mécanique (en collaboration avec le groupe du même nom).
Depuis quelques années, on peut admirer ses oeuvres sur les couvertures de certains romans de la maison Alire, dont ceux de Jean-Jacques Pelletier et Patrick Senécal.
Le roman graphique Aliss est un de ses projets les plus ambitieux à ce jour.
Where is Aliss
Réécriture étrange d’Alice au pays des Merveilles, à ne surtout pas mettre entre les mains de jeunes filles. Sur un fond de philosophie nietzschéenne, découvrez l’histoire de la jeune Aliss, condamnée à vivre dans ce nouveau quartier dont elle ne peut s’échapper. Des rencontres étranges, des situations cocasses. Mais surtout de la drogue, du sexe, des meurtres et une bonne dose d’incompréhension.
Un polar canadien bourré de références à la pop-culture, frôlant presque le fantastique.