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« Le jour en train de tomber ne pénètre plus dans le Corso. La rue n'a jamais été si encombrée, si bruyante, si resserrée. Là où je suis, à peine à cent mètres de la place de Venise, elle paraît toute noire. Sauf San Marcello, en retrait. Accrochées aux pierres de l'église, des herbes, qui ne peuvent être de la mauvaise herbe sur ces murs sacrés, se renversent en gerbes. » Jacques Isorni (1911-1995) nous emmène dans ses pas de Rome, en pays dalmate, de Madère au domaine de Manaval...