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Ici, dans Le Jour que voici, commence le martyre de Paul Gadenne, perpétuellement séparé de ce qui le hante : l'image d'une femme, d'un livre, d'une statue, d'un moment passé, d'un îlot humain, d'une langue, finalement du roman lui-même. Et cette séparation n'est pas entre lui et les autres, mais quelque part en lui, au cour du « château », entre le lieu mental où il se situe et l'objet qu'il scrute, auquel il cherche à donner la forme de ce qu'il « voit ».
D. S.