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La société française en crise appelle des changements politiques et économiques profonds. De "nouvelle société" en "participation", les Chaban-Delmas, Messmer, Giscard-d'Estaing et Edgar Faure s'écrient en chour tous les matins : "le mouvement c'est nous !". De Lecanuet à Servan-Schreiber et Poher, on entretient le mythe du centrisme "réformateur", capable d'assurer les changements nécessaires. Ils font, les uns et les autres, feu de tout bois, pour tenter de barrer la route aux changements incarnés par le programme commun de la gauche.