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"Qu'on soit ou non enclin à la mélancolie, les roses de septembre, et singulièrement les roses jaunes, harmonisées déjà aux nuances de la saison, nous donnent un plaisir plus grave que les roses de printemps, au cour ferme et luisant. Avec les roses jaunes, leur large et suprême épanouissement, on assiste vraiment à la fin d'une beauté qui voudrait ne pas mourir..." un roman de Gérard Bauër paru en 1955.