Condition de l'homme moderne - Poche

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Hannah Arendt - Condition de l'homme moderne.
Notre siècle a totalement transformé le statut de l'homme ; celui-ci est désormais un membre d'un ensemble qui le dépasse, et dont il ne peut s'échapper.... Lire la suite
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Résumé

Notre siècle a totalement transformé le statut de l'homme ; celui-ci est désormais un membre d'un ensemble qui le dépasse, et dont il ne peut s'échapper. Il vit dans un monde où la technique prend de plus en plus d'importance, et où le politique s'impose sans possibilité d'écart ou de fuite. Ce monde est également celui des pires violences, de la barbarie généralisée. Hannah Arendt commence ici sa réflexion sur l'originalité radicale de notre époque. Elle pose les bases d'une réflexion qui permettra, peut-être, de se donner les moyens d'éviter les dérapages vers la violence aveugle, en comprenant en profondeur la dimension de "l'homme moderne". Un nouvel humanisme ?

Caractéristiques

  • Date de parution
    18/07/2007
  • Editeur
  • Collection
    Agora les classiques
  • ISBN
    978-2-266-12649-6
  • EAN
    9782266126496
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    406 pages
  • Poids
    0.205 Kg
  • Dimensions
    11,0 cm × 18,0 cm × 1,8 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Hannah Arendt

Née à Hanovre (Allemagne) en 1906, dans une famille juive, Hannah Arendt montre très tôt les signes d'une grande précocité intellectuelle. Élève de Heidegger, puis de Husserl, elle soutient, à vingt-deux ans, son doctorat sur "le concept d'amour chez saint Augustin", sous la direction de Karl Jaspers. En 1933, elle fuit l'Allemagne nazie et se réfugie en France, ou elle résidera jusqu'en 1940. À Paris, elle milite dans des organisations sionistes, aux côtés d'intellectuels tels que Jean-Paul Sartre, Raymond Aron, Stefan Zweig, ou encore Bertold Brecht.
Elle y fait aussi la connaissance de Heinrich Blücher, un communiste allemand, qui l'épouse quelques années plus tard. En 1941, elle émigre aux États-Unis. Devenue citoyenne américaine, la publication de Les origines du totalitarisme en 1951, qui n'apparaît que vingt ans après en France, marque le début de sa renommée. Dès 1955, elle donne, dans diverses universités américaines, des conférences, qui seront reprises dans ses différents ouvrages : La crise de la culture (1961), Condition de l'homme moderne (1958) et L'essai sur la révolution.
Elle est, jusqu'à sa mort à New York en 1975, professeur à la New School for Social Research. Son dernier livre, resté inachevé, La vie de l'esprit, est publié à titre posthume, en 1978.

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