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UNICEF France et Le Livre de Poche s'associent une nouvelle fois autour d'un projet en faveur de l'éducation et de l'enfance. Cette fois-ci, c'est Mélissa Da Costa qui prête sa plume et son talent pour nous offrir un texte bouleversant sur la maladie, le deuil et le pardon. L'autrice nous plonge dans les souvenirs d'un enfant et en particulier ses derniers instants auprès de sa mère qui se sait condamnée mais préfère inventer une mission secrète pour adoucir la peine de son fils.
A travers ce récit, l'autrice nous prouve que l'imagination n'a pas de limite et qu'il n'existe pas de meilleur pouvoir que l'amour pour guérir les blessures les plus profondes.
Une belle histoire mais un mensonge qui ne passe pas
C'est une belle histoire, très touchante et très poétique, mais ...
J'avoue ne pas avoir adhéré à ce mensonge qui m'a beaucoup perturbée.
L'intention est belle mais elle est passée, à mes yeux, comme une trahison et non de l'amour pour un enfant.
Il faut savoir respecter un enfant.
Les choses, même graves, peuvent être expliquées autrement que par des mensonges et des images farfelues aussi poétiques soient-elles.
J'ai parfaitement compris la souffrance d'Arthur adulte.
Il s'en était pris plein les yeux et n'a découvert la vérité qu'à 14 ans, et par inadvertance en plus.
Les beaux souvenirs restent en mémoire, les mensonges viennent tout saccager et faire perdre confiance. On ne peut pas se construire sur de telles bases.
Je reconnais l'imagination sans limite et très fertile de l'auteure, et je trouve impressionnant tout ce qu'elle peut concevoir.
J'aime la plume de Mélissa, mais pas ce genre d'histoire.
J'ai vraiment été marquée par ce récit, mais cela ne m'empêchera pas de continuer à lire les romans de Mélissa.
Tout ceci n'est que mon profond ressenti, n'hésitez pas à découvrir ce roman, il a reçu de nombreux avis positifs.