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J'ai suivi cette "mamie" tueuse à gage de 63 ans avec un plaisir certain.
Personnage haut en couleur et plutôt comique, malgré son job !
Il faut dire que si Mathilde est une pro de la gâchette, malheureusement pour elle sa mémoire part déjà à la retraite, et cela donne des situations assez cocasses.
Allez savoir pourquoi, mais tout au long de ma lecture je me suis imaginé l'inspecteur Vassiliev dans les traits et les allures de Colombo.
J'ai eu un petit pincement au cœur pour le personnage de Monsieur, conscient de son Alzheimer mais qui se bat jusqu'au bout, certain d'avoir
découvert quelque chose d'important.
Des situations loufoques, drôles, surprenantes.
Des dialogues dignes d'Audiard.
Un roman noir, cynique et immoral mais une lecture addictive, car jusqu'à la dernière page on se demande comment cela va finir.
Une histoire assez prenante une fois que le rythme réussit à démarrer.
J'ai trouvé que les détails donnaient un peu de longueur au récit.
Il y a aussi pas mal de personnages qui passent puis reviennent, il faut être assez attentif.
Comme j'ai commencé par le 7ème opus de cette série, j'ai eu un peu de mal à bien cerner et comprendre Harry Cole.
Même si j'ai trouvé le personnage bien travaillé, il m'a fait l'effet d'un Rambo dans les derniers chapitres. J'ai trouvé ça un peu décalé.
S'il neige souvent dans ce roman, je n'ai pourtant pas eu l'impression de pénétrer dans
le froid glacial d'un thriller sombre.
Sinon, une bonne intrigue qui voue emmène par des chemins où vous êtes certain d'avoir chaque fois découvert le coupable.
Ce thriller se déroule sur une seule journée mais nous tient en haleine du début à la fin, nous faisant passer par toutes sortes d'émotions.
Avec Charlotte notre angoisse monte au fil des pages.
Des chapitres qui s'alternent entre la journée de Charlotte et l'assassin qui s'exprime, s'explique sur ses actes machiavéliques et imparables.
Une écriture fluide, des chapitres courts qui font de ce thriller un vrai page-turner.
Un très bon travail sur le personnage de Charlotte qui fait monter la tension dans cette intrigue captivante.
On va vivre 24 heures avec cette jeune femme
et avec elle on va trembler, psychoter, espérer, croire, se méfier, suspecter, accuser.
Un thriller psychologique efficace, un suspense insoutenable tel que sait si bien le faire l'auteur.
Je ne connaissais pas la série des Ripley et je ne sais pas pourquoi mais je m'attendais à un polar du genre "Poirot s'amuse".
J'ai donc découvert que l'univers de ce roman tourne autour d'un malfrat qui vit désormais dans sa villa où il joue les gentleman farmer.
Une histoire assez singulière avec ce personnage qui se laisse embarquer puis enliser dans des mensonges tous plus gros les uns que les autres.
Des scènes parfois un peu abracadabrantes.
Je n'ai pas toujours compris pourquoi tous ces allers-retours entre le magasin de Jonathan et la maison de Ripley. Y avait-il un nombre
de pages à produire ?
Des passages dont l'utilité me semble discutable, et un manque d'entrain car le rythme ne s'accélère qu'au dernier tiers du livre.
Néanmoins ce roman contient une petite dose de suspense, voir d'humour, qui en font une lecture pour passer un petit moment hors du temps
Deux personnages brisés par la vie, écorchés, perdus.
Deux destins tragiques avec beaucoup de douleurs et de non-dits.
Un récit bouleversant et mélancolique dans ces tranches de vie faites de solitude et d'indifférence, de souffrance en continu, de tristesse infinie.
Deux personnes qui ressassent tout le long des chapitres. On va les voir s'interroger sur leur passé, leur destin, leur isolement, leurs actes manqués, leur culpabilité, leur chagrin.
L'écriture est sensible et touchante, mais j'y ai trouvé beaucoup de détails. C'est ce qui fait tout le poids de ce roman, mais à
la longue j'ai eu l'impression que lire les 3 premières phrases de chaque chapitre pouvait me suffire à comprendre l'histoire.
Une histoire émouvante, mais qui ne restera pas éternelle dans ma mémoire.
Désolée, mais il en faut bien une, je serais donc celle qui n'a pas spécialement accroché à ce roman.
Je pense surtout que je n'étais pas partie avec l'idée de lire un "Sex and the city".
Certes ces 4 femmes ont chacune un parcours assez particulier et marquant, mais j'y ai surtout vu des chercheuses de réussite sociale, arrivistes bourrées de fric. J'ai eu l'impression que leur quotidien se résume à : boulot, argent et sexe.
Je conçois tout à fait que ce roman puisse plaire (et heureusement pour l'auteure), c'est juste que ce n'est pas du tout mon style.
Il y avait matière
à travailler quelques thèmes. Comme la femme soumise à une éducation stricte, la bonne maman et femme d'intérieur qui n'a droit qu'au silence, ou encore le veuvage et la difficulté de se reconstruire et comment définir ses priorités entre soi-même et ses enfants.
Ceci étant, je reconnais que la plume est fluide, que l'histoire à un certain rythme et qu'il y a quelques passages drôles.
Je sais que l'auto-édition est un monde difficile, et je souhaite à Elodie Leraigne un très beau parcours et une longue vie à son roman.
Une histoire crédible, pétillante et pleine d'humour.
Des personnages attachants.
Une petite dose de suspense.
Une écriture fluide, parfois cocasse.
Sous ce roman léger, une belle analyse de l'amour porté par l'autre, de celui qui est sûr de lui, égoïste dans sa vision de la vie à deux. Une belle interrogation aussi sur l'amour conventionnel.
Un roman parfait pour décompresser et passer un bon moment de détente.
On retrouve dans ce tome 2, Jacob, Emma et les autres enfants particuliers, bien décidés à délivrer Miss Peregrine de son apparence d'oiseau dans laquelle elle est coincée.
Ils quittent donc leur île et leur boucle pour trouver une ombrune capable de sauver Miss Peregrine.
Ils vont finir par arriver à Londres en 1940, ville en proie aux incessants bombardements allemands.
Si le premier tome avait pour but de présenter les enfants particuliers, leurs dons et cette boucle temporelle, le second tome me laisse perplexe quant à son utilité.
L'histoire démarre plutôt bien, mais l'intrigue
traine un peu pour ne démarrer qu'en fin de livre. es poursuites dont les enfants font l'objet manquent un peu d'intensité.
Si l'intrigue tarde, le final n'en est pas moins surprenant.
Bien sûr c'est un roman jeunesse, mais je trouve que la magie a disparu de ce tome 2.
Quant à la couverture, je ne comprends pas le choix puisque cette fillette n'apparaît que très peu dans l'histoire, et n'accompagne même pas les enfants dans leur périple.
Helsingborg en Suède et juste en face Helsingor au Danemark.
En Suède, Astrid, chef de la police, et son équipe se retrouvent avec un mort noyé, qui s'avère en fait être mort congelé depuis 2 mois avant d'être noyé.
Une bien étrange affaire.
Au Danemark, Dunja, reléguée comme simple gardienne de la paix, et son collègue Magnus vont avoir fort à faire pour retrouver une bande de jeunes qui se filment lorsqu'ils tuent des SDF.
Une bien pénible affaire.
Outre les enquêtes complexes qu'ils ont a mené, ces policiers ont également de gros soucis personnels à régler.
Si les
chapitres s'alternent entre Suède et Danemark, on ne se perd jamais dans la lecture, et ce découpage donne un bon rythme à l'histoire, d'autant que les 2 enquêtes vont se rejoindre.
On se laisse porter et emporter, se demandant comment vont donc bien pouvoir se terminer ses enquêtes.
Des rebondissements et des intrigues qui s'entrecroisent pour nous mener dans des découvertes machiavéliques et macabres.
Un scénario très bien imaginé et mené avec un suspense addictif.
Si "Moins 18°" est la suite de "Hors cadre" et "La 8ème tombe", ce polar peut très bien se lire indépendamment. Je n'ai pas lu les 2 premiers et cela ne m'a gêné en rien dans la lecture.
Un roman plus historique que polar
Au travers ce polar on découvre la vie, la survie surtout, des Berlinois en cet hiver 46 dans une ville divisée en 4 comme un gâteau.
Rien n'est facile et Berlin manque de tout, de vivres comme de matériaux. Les déplacements sont politiquement compliqués, avec en plus des moyens de locomotion quasi inexistants.
Toutes ces difficultés sont décuplées quand on sait que cet hiver 46 fut le plus froid et surnommé "l'hiver de la faim". Ce froid intense a d'ailleurs apporté un problème supplémentaire : le gel des canalisations d'eau.
Au milieu de tout ça, il faut déblayer la ville avant d'envisager sa reconstruction.
Si au départ on a un peu de mal à y voir clair, l'histoire devient plus limpide au fil des chapitres pour nous emmener dans un petit suspense et vers une fin à laquelle on ne s'attend pas.
On navigue plus dans un roman historique que dans un polar.
L'auteur joue entre ces 2 situations mais on a souvent l'impression que le côté enquête est en second plan.
Pour ceux qui aiment les polars historiques, et cette période, ce roman constitue une découverte enrichissante.
Un polar noir et même si c'est le 4ème opus de l'auteur avec son commissaire Oppenheimer, il n'est en rien gênant si on n'a pas lu les 3 autres.