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C'est une belle histoire, très touchante et très poétique, mais ...
J'avoue ne pas avoir adhéré à ce mensonge qui m'a beaucoup perturbée.
L'intention est belle mais elle est passée, à mes yeux, comme une trahison et non de l'amour pour un enfant.
Il faut savoir respecter un enfant.
Les choses, même graves, peuvent être expliquées autrement que par des mensonges et des images farfelues aussi poétiques soient-elles.
J'ai parfaitement compris la souffrance d'Arthur adulte.
Il s'en était pris plein les yeux et n'a découvert la vérité qu'à 14 ans, et par inadvertance en
plus.
Les beaux souvenirs restent en mémoire, les mensonges viennent tout saccager et faire perdre confiance. On ne peut pas se construire sur de telles bases.
Je reconnais l'imagination sans limite et très fertile de l'auteure, et je trouve impressionnant tout ce qu'elle peut concevoir.
J'aime la plume de Mélissa, mais pas ce genre d'histoire.
J'ai vraiment été marquée par ce récit, mais cela ne m'empêchera pas de continuer à lire les romans de Mélissa.
Tout ceci n'est que mon profond ressenti, n'hésitez pas à découvrir ce roman, il a reçu de nombreux avis positifs.
J'étais certaine d'adorer cette lecture.
Un départ qui m'a beaucoup plu, où j'en étais presque a déjà acheté le tome 2 en m'imaginant embarquée dans un très bon SF.
Un démarrage avec un univers et des personnages très bien imaginés et décrits.
Et justement, voilà un premier mauvais point : il y a beaucoup de personnages, et je m'y suis souvent perdue.
Quant au personnage principal, Darrow, si j'ai aimé sa personnalité au départ je n'ai cependant pas réussi à m'attacher par la suite.
J'ai bien perçu et compris toute la rage qui anime Darrow, il ne m'a pourtant pas touchée.
D'ailleurs,
les autres personnages ne m'ont pas vraiment captivée non plus.
Le second point négatif pour moi, des scènes de combat, de guerre à n'en plus finir.
Ça prend tellement d'ampleur que ça en devient lassant.
En résumé, un départ qui m'a enchantée mais une histoire qui est retombée plus vite qu'un soufflé.
Du coup, je ne lirais pas les suites.
Tout d'abord le titre est trompeur.
Il ne s'agit pas d'un bibliothécaire mais d'un archiviste.
Ensuite, n'attendez pas de découvrir autre chose de ce félin que papouilles et ronrons. Car à part faire ce que tout bon chat sait faire ce maine coon ne participe aucunement à l'enquête contrairement à ce qu'annonce le 4ème de couv.
Sinon ce cosy mystery respecte le genre.
Une petite intrigue, quelques mystères, des personnages tous suspects, un archiviste qui se fait détective.
Et comme dans tout bon cosy mystery, pas de sang, de meurtres sauvages ou de scènes atroces.
On se croirait
même plutôt dans une ambiance très british, ce qui confère au récit un certain charme.
J'ai regretté qu'il y ait cependant trop de détails sur le quotidien du personnage principal et de son chat.
Au bout de quelques chapitres on a bien compris qu'il mange et nourrit son animal, qu'il sait faire la vaisselle, et met un pyjama pour dormir.
Des scènes qui peuvent avoir un certain charme si elles ne sont pas redondantes.
Quelques petits rebondissements bien placés vont ajouter du peps à l'histoire et conserver toute notre attention.
Un polar qui se lit facilement avec des petits suspenses à chaque fin de chapitre qui nous obligent à lire toujours plus.
Une lecture sans prise de tête à tenter de démasquer l'assassin, qui ne sera révélé qu'à la toute fin du roman.
Un titre un peu trompeur car on découvre plutôt les jeunes années de Simenon, de 1915 à 1931, de son adolescence à la création du premier Maigret (qui sera suivi de 75 autres !).
C'est ici surtout le parcours littéraire de Simenon qui est mis en avant, ses débuts dans le journalisme, ses écrits érotiques, ses soirées de fête et d'insouciance, et ses nombreuses aventures féminines.
On prend plaisir à croiser et reconnaître quelques célébrités au fil des planches.
Une BD aux couleurs pastel qui nous ramène et nous plonge dans cette époque avec bonheur et curiosité.
Même
si je m'attendais à des "mémoires" plus complètes j'ai apprécié découvrir les facettes que je ne connaissais pas de cet écrivain si connu.
Un polar très sombre et bouleversant où au travers une enquête qui plonge dans le sordide l'auteure va aussi pointer les faiblesses et les manquements de certains services à l'enfance, tout en nous parlant d'abandon, de vengeance et d'enfance maltraitée.
Les chapitres sont courts et on passe d'un protagoniste à l'autre, accentuant l'effet intrigue.
Un récit très dur mais qui ne manque pas de rythme dans cette atmosphère oppressante et éprouvante.
La tension monte peu à peu dans ce récit machiavélique que j'ai eu du mal à lâcher.
Un thriller captivant aux multiples rebondissements
jusqu'à cette fin tout aussi horrible que surprenante.
Un polar atypique sur fond de nature writing.
L'auteur commence par poser son décor, son paysage, ses bords de rivière chantante, et sa baie si particulière.
Puis il va faire intervenir ses personnages que l'on va voir évoluer au fil des chapitres, avec notamment, un Stoney Calhoun guide de pêche un peu hors norme niveau comportement.
Le suspense va s'installer sur une intrigue bien menée.
Je regrette juste ces explications redondantes sur la pêche ou la fabrication des mouches, mais j'ai suivi avec plaisir cette enquête avec la nature en toile de fond.
Je n'ai pas lu le 1er
tome "Dérive sanglante"et cela ne m'a nullement gênée.
"Casco Bay" est un polar assez captivant et surtout dépaysant.
Un polar atypique sur fond de nature writing.
L'auteur commence par poser son décor, son paysage, ses bords de rivière chantante, et sa baie si particulière.
Puis il va faire intervenir ses personnages que l'on va voir évoluer au fil des chapitres, avec notamment, un Stoney Calhoun guide de pêche un peu hors norme niveau comportement.
Le suspense va s'installer sur une intrigue bien menée.
Je regrette juste ces explications redondantes sur la pêche ou la fabrication des mouches, mais j'ai suivi avec plaisir cette enquête avec la nature en toile de fond.
Je n'ai pas lu le 1er
tome "Dérive sanglante"et cela ne m'a nullement gênée.
"Casco Bay" est un polar assez captivant et surtout dépaysant.
Un roman un peu difficile à classer.
C'est d'abord une saga familiale où les contes de fées tiennent une place importante, et on le lit aussi comme un polar où le petit effet thriller est bien présent.
C'est une histoire où la quête identitaire est omniprésente, se déroulant essentiellement sous le charme de la Cornouailles du début du 20ème.
Le récit se découpe sur 4 époques, et on navigue de chapitres en chapitres entre 1913, 1930, 1975 et 2005.
Les chapitres étant assez courts, ces changements temporels sont un peu déstabilisant au début. Il m'a fallu me concentrer
sur la date pour savoir de quel personnage on allait parler.
Mais je m'y suis vite habituée et retrouvée, d'autant que ces petits bonds renforcent le côté addictif du récit.
Les passages sont parfois très bien imaginés, on quitte l'une à tel endroit à telle époque pour en retrouver une autre au même endroit 30 ans plus tard.
L'auteure sait semer quelques fausses pistes pour mieux nous surprendre chaque fois, conférant un petit côté haletant à cette intrigue.
Même si j'avais deviné avant la révélation finale, celle-ci n'en demeure pas moins fort bien amenée.
Un mystère qui reste entier jusqu'à cette découverte qui peut surprendre, mais qui m'a surtout touchée.
Un très bon roman qui a su m'emporter du début à la fin.
Un auteur et un personnage que je découvre.
Même si ce n'est pas le premier roman avec ce commandant, cela ne m'a en rien gêné dans ma lecture dans laquelle j'ai plongé avec un réel plaisir.
Une écriture fluide et bien rythmée pour un récit sans temps mort avec une histoire intrigante et prenante.
Des pages qui se tournent toutes seules. Un polar aux suspense et rebondissements bien présents qui rendent la lecture vite addictive.
Peut-être un peu trop de descriptions techniques et juridiques. Mais c'est juste mon impression. En tout cas on sent que l'auteur a bien potassé
son sujet, un brin aidé sans doute par le véritable commandant Chanel, ce qui rend l'histoire d'autant plus crédible.
En conclusion, un polar et une enquête bien menés, avec de très bons personnages bien croqués.
Une enquête sans effusion de sang mais finement conduite sous la houlette d'un commandant aussi sympathique que fin limier.
Un récit instructif. Un roman touchant
Je connais "La tresse" de cette auteure, et je retrouve ici son style.
Une histoire qui jongle sur plusieurs personnages pour, à un moment, se recouper.
Avec "Les victorieuses" on va aussi naviguer entre les époques.
Laëtitia nous emmène au début du 20 ème a la découverte de Blanche Peyron et nous fait découvrir son incroyable détermination à aider les plus démunis au sein de l'Armée du Salut, et surtout l'ouverture à Paris du Palais de la femme, un hôtel social.
L'auteure nous ramène aussi au temps présent pour nous montrer ce refuge dédié aux femmes qui veulent échapper à la rue, à la maltraitance, à la précarité. Qui veulent un point d'ancrage après avoir traversé plusieurs frontières au péril de leur vie
Une belle écriture pour cette histoire consacrée aux femmes, à leurs combats et à la solidarité.
Un très beau message à travers ce livre aussi touchant qu'émouvant.
Un roman instructif qui m'a fait découvrir l'extraordinaire personnage de Blanche et le combat (les combats) qu'elle a mené sans jamais baisser les bras.
Rappelons qu'elle fut nommée Chevalier de la Légion d'Honneur.