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J'ai eu ici le très très grand plaisir de retrouver dans ce thriller le Chattam que j'aimais à ses débuts.
Du noir, du glauque.
Des scènes de crimes décrites avec tant de réalisme qu'elles font obligatoirement frissonner.
Une atmosphère pesante où on entre dans l'esprit plus que tourmenté de ce tueur sociopathe, sans jamais deviner qui il est.
Une intrigue complexe et habilement construite avec un suspense maintenu du début à la fin.
Des rebondissements qui ne nous laissent pas vraiment le temps de respirer.
Des personnages bien travaillés, qui nous emmènent, nous enfoncent,
pour comprendre les origines et les arcanes du Mal.
D'où vient- il ? Qu'est-ce qui alimente ? Comment s'exprime t-il ? Comment ceux qui le côtoie par obligation peuvent-ils s'en sortir ?
J'ai dévoré ce polar, j'y ai été tellement immergée que je n'ai même pas vu les pages se tourner.
Complètement happée dans les méandres les plus sombres de ces personnages incroyables, dans la frénésie de l'enquête et de ses retournements de situation.
Un très bon, un excellent moment de lecture.
Un recueil de 12 nouvelles, dont 3 vont se croiser.
Comme dans tous les recueils, il y a des histoires qui passent mieux que d'autres, certaines marquent, d'autres glissent.
L'auteure a une écriture très facile qui sait passer du flippant à l'émotion.
Certains contes sont assez forts.
D'autres ouvrent la voie à la réflexion, parfois à l'empathie.
Mais tous ont leur côté sombre.
Une plume qui réussit parfaitement à choisir les bons mots pour vous emporter.
Ils sont tous finement affûtés pour marquer le lecteur qui est déjà entraîné dans cette vague de destins hors
du commun.
J'aimerais tellement que les 3 contes qui se croisent deviennent un thriller à part entière.
Le potentiel est là, il suffirait d'étoffer pour en faire un roman à la Stephen King.
Une très belle aventure aux côtés de Camille et son mari Fabrice sur 5 mois de leur existence qui vont se révéler riches en rebondissements et émotions.
Une plume qui sait très bien manier le suspense et construire une intrigue addictive.
Un récit très bien construit autour de ces "et si ...", de ces petits hasards, de ces petits espaces temps ou de ces décisions qui font les aléas de la vie.
De bons personnages, tous très bien travaillés et qui nous semblent si réels.
Ici pas de flic Rambo, juste des gens que l'on pourrait croiser dans la rue.
Au fil de la lecture, on
a toujours un soupçon d'empathie pour l'un ou l'autre.
J'ai adoré Camille, sa force et sa volonté.
J'ai aimé aussi Christine, celle qui donne tout parce qu'elle n'a plus rien à perdre.
Deux femmes qui sont les piliers de ce très bon polar.
Ce roman est à la fois une chronique historique et un polar.
Au travers le quotidien de la jeune Aki on va découvrir tout ce que la communauté japonaise installée aux USA depuis 2 générations a eu à subir après l'attaque de Pearl Harbor.
Un sujet rarement traité et pour lequel on connaît peu de chose sur ces camps où ils furent parqués, sur la spoliation de leurs biens, sur la pauvreté qui s'en est suivie, et sur la xénophobie qu'ils ont dû endurer.
Des personnages très touchants, et une empathie qui va grandissante pour cette jeune fille qui veut comprendre pourquoi sa
sœur est morte.
Une belle plume pour ce récit très bien documenté, qui nous emmène crescendo dans cette intrigue bien ficelée.
Un récit fascinant et captivant, et un dénouement qui n'est pas sans laisser une petite touche d'émotion.
Un titre qui pourrait laisser penser à un cosy mystery, mais on a plutôt ici un polar classique. Certes assez conventionnel et soft, pas de sang ni de frayeur, mais une petite intrigue bien menée, tout comme l'enquête qui avance doucement mais sûrement.
L'histoire est bien ficelée et nous fait passer un bon moment dans cette campagne anglaise.
Sans vouloir sortir du lot, ce polar possède une petite note fantastique qui n'est pas désagréable et donne un autre atout à l'histoire. Et ces fantômes, même s'ils sont peu présents, apportent aussi une petite touche d'humour.
Une
plume fluide, une écriture facile et entraînante, un petit suspense simple mais bien mené, font de ce roman une lecture agréable.
Il s'agit ici du 1er tome de la série "Campbell et Carter" et afin d'affiner mon impression sur l'auteure, je pense me procurer "Manoir, magouilles et coq-au-vin".
Si cette série comporte à ce jour 7 titres, seulement 4 sont traduits en français.
Un récit fantastique original et bien imaginé que je découvre grâce à Simplement Pro, en remerciant l’auteure pour sa confiance et l’envoi de son livre.
Une première partie qui va se consacrer à la découverte du pouvoir.
Ici, les 50 premières pages m'ont paru assez complexes avec cette foultitude de personnages, où il est difficile de se concentrer faute de mieux les connaître.
La seconde partie contient beaucoup de détails, d'informations et quelques longueurs.
Le registre change tout en maintenant l'intrigue.
Du début à la fin, on ressent très bien le travail de
l'auteure.
L'univers est bien exploité, les recherches historiques enrichissent l'histoire.
On y apprend beaucoup sur nos anciennes époques et leurs langages, sur les habitudes, coutumes et croyances.
Audrey ne manque pas d'imagination pour ce récit où elle amène aussi quelques réflexions intéressantes.
L'auteure possède une belle plume et sait se servir de ses recherches. Il faudrait juste un peu plus de structure pour que le lecteur puisse mieux maîtriser l'histoire.
Audrey Heck a un potentiel certain pour les récits fantastiques.
Même si je ressors un peu mitigée de ma lecture, je reconnais que c'est une belle histoire de science-fiction.
Une histoire bouleversante, un sujet tabou (hélas) et délicat, un récit poignant.
Il y a une telle force et une telle puissance dans ces mots qui frappent, cognent, bousculent, émeuvent, révoltent.
Tout démarre par des actes ignobles et répétés, d'un aïeul sur sa petite-fille, innocente, qui n'avait rien demandé d'autre que de profiter de sa jeunesse et de l'amour de ses parents.
Maeva en parle, bien sûr, un peu, et avec des phrases percutantes, mais j'ai trouvé que toute la puissance de ce livre se situe dans le "renaître".
Dans cette faculté qu'elle a eu, aidée et soutenue
par un mari exceptionnel, pour dire : je vais vivre, je vais me battre et je vais éveiller les consciences inconscientes.
Pour moi, le sujet de ce récit n'est pas l'inceste, il est le point de départ.
Le sujet profond c'est la révolte, la force et la rage de survivre, le courage de vivre.
Les mots sont parfois durs, évidemment, mais ils sont là pour marquer le lecteur.
Maeva, avec la plume de Marc Gervais, nous parle sans détour, avec une certaine pudeur, mais en toute sincérité.
Elle est à la fois très sensible et très forte.
On va découvrir ce cheminement depuis la prise de conscience, puis la colère, la révolte, le combat, et la reconstruction.
Je me suis pris des coups de poing émotionnels durant toute ma lecture.
Le livre refermé, je reprends d'abord mon souffle, et je dis BRAVO.
Bravo pour ce combat, bravo pour ce courage, bravo pour cette réussite, bravo et merci pour ce partage.
Bravo d'avoir eu la force de parler, et de nous avoir transmis tant de choses.
Madame Bigourie, votre livre est une ode à la vie.
Parce que votre récit ouvre le regard et la conscience, ce livre devrait être étudié en classe.
Vous dites " Un enfant qui parle est un enfant qui se sauve".
J'ajouterai "Un adulte qui parle sauve un enfant".
C'est un thriller assez sombre, à la limite parfois du gore lorsque certaines scènes sont décrites.
Il faut aimer ce genre car ce roman n'est pas seulement un polar. C'est beaucoup plus profond, telle une descente dans les cercles de l'Enfer dans les catacombes et les bas fonds de Paris. Mais Ismaël a su utiliser les mots qu'il fallait pour ne pas tomber dans l'excès et maintenir la curiosité du lecteur.
On ressent bien la connaissance de la mythologie et les recherches de l'auteur pour apporter tout le volume à cette histoire bien documentée.
Ses personnages sont assez atypiques
mais aussi très attachants. On apprend à les connaître et on les voit évoluer au fil des chapitres.
Sous sa plume fluide et addictive, Ismaël sait jouer avec le lecteur pour l'emmener là où il veut, mais pas là où nous croyons.
Une belle prouesse littéraire qui mettra notre cerveau en ébullition et nos nerfs à rudes épreuves avec cette imagination débordante qui est la sienne.
J'ai tout aimé dans ce thriller; l'enquête bien ficelée, l'intrigue, l'ambiance, les personnages.
Une histoire captivante jusqu'au bout. Difficile à lâcher avant ce point final très riche en émotions.
Je ne suis pas contre de retrouver ce quatuor de flics dans un prochain roman.
Un recueil où l'auteure s'en prend à la société et à ce qu'elle est capable de créer, mais ici en regardant du mauvais côté de la lorgnette.
L'auteure se lâche, se défoule et râle à tout va, comme une libération au regard de tous ces c... qui nous entourent.
Et elle n'y va pas avec le dos de la cuillère.
Grand ou petit, riche ou pauvre, proche ou inconnu, chacun a droit à son coup de bâton et s'en prend plein la tronche.
Zaza y va de ses commentaires acerbes et Yoda n'a pas toujours le dernier mot.
Des tranches de vie cocasses, parfois ubuesques, avec une écriture simple
et accessible.
Dans tous ces portraits il y en a au moins un que vous reconnaîtrez.
Un moment de détente qui fait du bien, qu'on soit râleur ou pas.
Un roman très fort qui ne peut laisser indifférent
Les thèmes de ce roman sont assez forts, viol, dépression, suicide.
Des sujets très graves qui font toute la noirceur du récit.
Des scènes tout aussi fortes qui ne peuvent que marquer le lecteur.
Une belle intrigue, mais un peu complexe où on se demande où l'on va avec ce "pacte" dont on ne sait rien.
Une tension palpable et toujours présente, et un suspense qui monte peu à peu.
Une plume percutante pour ce thriller psychologique.
Des personnages que l'on sent tous très affectés mais auxquels je n'ai pas réussi à m'attacher, même si leur histoire ne peut que nous toucher.
Certains sont détestables et machiavéliques, et pour d'autres j'ai eu du mal à les aimer malgré un travail psychologique bien mené.
Une plume addictive et une bonne construction, menée avec un rythme assez soutenu.
Un roman qui ne peut laisser indifférent.